dimanche 31 octobre 2010

22 septembre:Journée mondiale sans voiture


(1)Lancée pour la première fois en 1998 à l'initiative de la France, la journée mondiale sans voiture est fêtée chaque année le 22 septembre.
Elle tend cependant à être remplacée par la semaine européenne de la mobilité,ou "semaine des transports", mise en place en 2007, qui promeut l'utilisation des transports en commun (ticket à 1 € valable toute la journée), et qui se déroule du 16 au 22 septembre.

La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain.
Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou les nuisances sonores, mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville : moins d'encombrement, possibilité de se déplacer à pied sans côtoyer les pots d'échappements, se réapproprier l'espace urbain...
C'est également l'occasion de réfléchir aux solutions alternatives à la voiture individuelle, comme les transports en commun, les nouvelles générations de « voitures propres » ou encore des solutions comme le co-voiturage.
Bien évidemment, la marche et le vélo restent les deux solutions à privilégier !

Nos sociétés modernes sont envahies par les voitures, et cela malgré les nombreuses alertes sur les nuisances que les voitures occasionnent. Conférence après conférence, il est dit combien il est urgent et nécessaire de remédier à ce problème et de privilégier les solutions alternatives, mais le constat est là : la journée mondiale sans voiture s'essouffle et, au fil des éditions, est de moins en moins suivie.

(2)Certains pays ou villes, comme Bruxelles ou Anvers en Belgique organisent cette journée le samedi ou le dimanche précédant le 22 septembre. L'interdiction de circuler est alors totale pour les véhicules à moteur dans un périmètre très étendu (161km² pour Bruxelles) : seuls les transports en commun (gratuits ce jour-là), les taxis, les véhicules de secours et les voitures dont les conducteurs sont munis d'une dérogation peuvent y circuler.

Bibliographie:
(1)Date:31/10/10
Site:google
Disponible:http://blognotes.solidairesdumonde.org/archive/2009/09/14/22-septembre-la-journee-mondiale-sans-voiture.html

(2)date:31/10/10
site:google
disponible:http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_voiture

Bibliographie photo:
date:31/10/10
site:google
disponible:http://www.google.es/imgres?imgurl=http://3.bp.blogspot.com/_JKAfB0KHLGs/Su28MWVyFII/AAAAAAAAAD4/GIxutZS6TI4/s320/voiture.gif&imgrefurl=http://lur-durable.blogspot.com/2009_11_01_archive.html&usg=__TA1vmoaVLpHtNKWc-jul0vK5S38=&h=130&w=130&sz=3&hl=es&start=0&zoom=1&tbnid=wZ6MKSqhlGjyfM:&tbnh=104&tbnw=104&prev=/images%3Fq%3Dla%2Bjourne%25C3%25A9%2Bsans%2Bvoiture%26um%3D1%26hl%3Des%26sa%3DN%26biw%3D1024%26bih%3D544%26tbs%3Disch:1&um=1&itbs=1&iact=hc&vpx=440&vpy=128&dur=91&hovh=104&hovw=104&tx=81&ty=23&ei=oK3NTOi-FI7qOdmj6JsB&oei=9qzNTMbVFtGDswa45ZWXCA&esq=18&page=1&ndsp=18&ved=1t:429,r:2,s:0

Journée sans voiture.

Journée sans voiture.





(1)Pourquoi une journée "En ville, sans ma voiture !" ?

Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de l'air, de nuisances sonores, d'encombrements, etc. Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent...

La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.

La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :

En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.

Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes. Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.

(2)Si certains commerçants ont protesté, craignant une perte de clients, selon le Ministère de l'Environnement, l'initiative En ville sans ma voiture du 22 septembre 1998 a été appréciée de 84 % de Français et 81 % ont souhaité la voir se renouveler et même s'étendre à toutes les villes en 1999. Le bruit a diminué de 50 % ce jour et la pollution de 40 à 50 %. Ces résultats n'ont cependant été publiés que le 12 janvier suivant. Un autre sondage[2] révèle que 64 % des Français jugent que la circulation en ville n'est que « peu » ou « pas du tout supportable »[3].

Depuis la création de la Semaine de la mobilité en France la « journée sans ma voiture » a disparu en tant que tel. Des collectifs cyclistes dont Vélorution souhaitent faire revivre cette journée en organisant chaque 22 septembre des manifestations giratoires dans plusieurs grandes villes de France. À Paris, en 2006, cette manifestation s'est soldée par l'arrestation de 60 cyclistes par la police.


Bibliographie:
(1)Date:30/10/10
Site:http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm
(2)Date:31/10/10
Site:http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_voiture

Bibliographie photo:http://www.google.com/imgres?imgurl=http://www.environnement.public.lu/actualites/2004/09/en_daag_ouni_Auto/22sept2004_300.jpg&imgrefurl=http://www.environnement.public.lu/actualites/2004/09/en_daag_ouni_Auto/index.html&usg=__4ICKLZc7Ltpeg-5Ab-yYuOWGXio=&h=424&w=300&sz=48&hl=es&start=0&zoom=1&tbnid=YuIcSE7yw7Ly6M:&tbnh=133&tbnw=94&prev=/images%3Fq%3Djournee%2Bsans%2Bvoiture%26um%3D1%26hl%3Des%26sa%3DN%26biw%3D1024%26bih%3D544%26tbs%3Disch:10%2C114&um=1&itbs=1&iact=hc&vpx=223&vpy=178&dur=308&hovh=133&hovw=94&tx=92&ty=186&ei=K6PNTNWSLMnEswbmvbCXCA&oei=K6PNTNWSLMnEswbmvbCXCA&esq=1&page=1&ndsp=18&ved=1t:429,r:13,s:0&biw=1024&bih=544

vendredi 15 octobre 2010

INTRODUCTION


L'objectif du développement durable est de définir des schémas viables qui concilient les trois aspects économique, social, et écologique des activités humaines : « trois piliers » à prendre en compte par les collectivités comme par les entreprises et les individus. La finalité du développement durable est de trouver un équilibre cohérent et viable à long terme entre ces trois enjeux. À ces trois piliers s'ajoute un enjeu transversal, indispensable à la définition et à la mise en œuvre de politiques et d'actions relatives au développement durable : la gouvernance. La gouvernance consiste en la participation de tous les acteurs (citoyens, entreprises, associations, élus...) au processus de décision ; elle est de ce fait une forme de démocratie participative. Le développement durable n'est pas un état statique d'harmonie, mais un processus de transformation dans lequel l'exploitation des ressources naturelles, le choix des investissements, l'orientation des changements techniques et institutionnels sont rendus cohérents avec l'avenir comme avec les besoins du présent.
On peut considérer que les objectifs du développement durable se partagent entre trois grandes catégorie:
-Ceux qui sont à traiter à l'échelle de la planète : rapports entre nations, individus, générations ;
-Ceux qui relèvent des autorités publiques dans chaque grande zone économique (Union européenne, Amérique du Nord, Amérique latine, Asie…), à travers les réseaux territoriaux par exemple ;
-Ceux qui relèvent de la responsabilité des entreprises.
Texte:
Auter:google
Photo:
Auteur: google

jeudi 14 octobre 2010

Causes de la faim dans le monde




Ce sont les causes naturelles de la faim, qui est alors provoquée par une attaque imprévue, comme un ouragan, une sécheresse, un tremblement de terre, une éruption volcanique, le gel, une inondation, un typhon, une invasion de prédateurs (insectes surtout) et bien d’autres catastrophes naturelles encore qu’il serait long d’énumérer.
Image de la faim conjoncturelle, la photo ci-dessous représente une file de centaines de personnes en attente de la distribution des aliments par l’aide humanitaire mondiale.

Tel est le nom des causes modernes, actuelles de la faim, les causes réelles pourrait-on dire, car ce sont pratiquement les seules valables de nos jours. Elles sont aussi complexes que serait naïve l’idée de résoudre le problème en transportant la nourriture excédentaire des pays riches vers le régions ou règne la famine ; ce qui permettrait bien sur de nourrir une population durant une courte période, mais le problème resterait entier, si ce n’est aggravé. Voyons à présent pour quelles raisons cet exemple serait impossible, et étudions pour cela les causes structurelles de la faim dans le monde, que l’on peut classer en deux catégories : les causes économiques, auxquelles de rattachent les causes sociales, et les causes politiques.

Bibliographie :
Site : http://http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/8-la-faim-dans-le-monde-5
Date de consultation :14/10/10
Auteur :google

Photo:
Site:http://http://www.google.es/imgres?imgurl=http://medias.lemonde.fr/mmpub/edt/ill/2007/10/16/h_9_ill_967393_alimentation-
Date de consultation:14/10/10
Auteur:google

Conclusions de la faim dans le monde.




815 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde. Ce chiffre diminue en moyenne de 6 millions par an. Mais il faudrait que cette baisse passe à 28 millions pour réduire de moitié le nombre de personnes mal nourries d'ici à 2015, objectif fixé par l'Onu.

30 pays d'Afrique subsaharienne souffrent de sous-alimentation, soit plus de la moitié des 50 pays recensés par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). La Somalie détient le triste record de malnutrition de la planète: 75% de sa population en souffre.

24.000 personnes meurent de faim chaque jour dans le monde, soit une toutes les quatre secondes.

3 600 calories avalées en moyenne quotidiennement par un Américain: 67% de plus qu'un Africain !

350 milliards d'euros, c'est la somme que les pays de l'OCDE (les nations les plus riches) consacrent chaque année aux subventions agricoles. Dans le même temps, ils
versent 8 milliards d'euros pour soutenir l'agriculture des pays en développement.
Quatre multinationales se partagent 90% du commerce mondial des céréales.

Bibliographie:

Texte:
Site:http://terresacree.org/faim.htm

Date: 14/10/10
Image:
Site:
http://www.google.es/images?um=1&hl=es&rlz=1T4ACAW_esES308ES308&biw=1003&bih=567
&tbs=isch%3A1&sa=1&q=alimentation+dans+le+monde&aq=f&aqi=&aql=&oq=&gs_rfai=

Date: 14/10/10